(site en cours de reconstruction)

Micro-histoire et microlectures,

cette page donne accès à un ensemble disparate de trois sites :

ici même :

 

une monographie communale. Je n’ai plus à Mesnac  (16370, Charente donc) que des tombes et des souvenirs. Après la vente de la maison familiale, pour en faire mon deuil, j’ai entrepris de rassembler les éléments dont je disposais sur l’histoire de ce village du Cognaçais, entre vignes et marais, puis Pierre Collenot, animateur et de très loin principal contributeur du site Histoire-Passion, m’a donné accès au « fonds Frétard » et ces archives, jointes à quelques autres découvertes faites via Internet, ont enrichi de façon stupéfiante la vision qu’on pouvait avoir de ce passé – auquel, il faut bien le dire, peu de gens s’étaient intéressés. Ils ne seront probablement guère plus nombreux à consulter ces pages (dont la municipalité n’a cure, m’a-t-on rapporté), mais, en les attendant, j’arpente les chemins de mon enfance en mesurant combien eux-mêmes étaient déjà transformés.

On trouvera aussi, sur le site précité de Pierre Collenot (certainement le premier site d’histoire régionale de France), quelques contributions portant sur des sujets plus larges  : outre la numérisation d’index et d’articles de revues, une cartographie des productions de la généralité de La Rochelle, d’après le mémoire de l’intendant Bégon, la  traduction (plutôt littérale) du De Santonum regione  de Nicolas Alain, une étude sur les châtellenies du duché d’Angoulême au XVIe siècle, une autre sur les vigueries carolingiennes de Saintonge, etc.

 

 

Ailleurs,

une  monographie professionnelle. Pendant plus de deux cents ans, en attendant la publication intégrale des débats par le  Moniteur, puis par le  Journal officiel, des « secrétaires-rédacteurs » rebaptisés « secrétaires des débats » dans le dernier tiers de leur existence, ont rendu compte plus ou moins succinctement des séances du Parlement. Quand a disparu en 2008 ce qui était devenu le « compte rendu analytique » sous le Second Empire, nous nous sommes aperçus que nous ne savions à peu près rien de nos prédécesseurs, pourtant censés être « pris parmi les hommes les plus exercés dans les lettres et dans la science des lois ». C’est à cette ignorance que j’ai essayé de remédier dans cet autre site. Pour un public sans doute limité, encore une fois.

Et ailleurs encore:

un site un peu plus sérieux et susceptible d’attirer – au moins à certaines époques, en fonction des programmes universitaires – une audience un peu plus large, quoique le sujet soit encore restreint : il est consacré, non à Verlaine, mais à une « Relecture des  Romances sans paroles« . Sans biographie, cette fois.